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Le meilleur de notre canal Telegram (septembre 2023)

Dernière mise à jour : 7 oct. 2023

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Citation de Frédéric Guillaud :

S’il est difficile de prouver l’existence de Dieu en s’appuyant sur tel ou tel résultat particulier de la science, on peut en revanche soutenir que l’efficacité générale de la science constitue à elle seule un bon argument ! Cela tient à un fait tout à fait mystérieux : l’applicabilité des mathématiques à la réalité physique. Comme chacun sait, ce qui se passe dans l’univers matériel, contingent et temporel, apparaît comme piloté, encadré par ce qui existe, atemporellement, dans le monde immatériel et nécessaire des structures mathématiques. Il arrive en effet que des théories mathématiques, élaborées sans aucun lien avec la science de la matière, s’avèrent constituer –des décennies plus tard- les outils idéaux pour décrire, expliquer et prédire les phénomènes physiques. Dans un article célèbre, le prix Nobel Eugen Wigner s’étonnait de cette « déraisonnable efficacité des mathématiques dans les sciences de la nature ». Car enfin, d’où pourrait bien venir cette correspondance entre les deux domaines ? Comment expliquer que les nombres complexes, inventés à la Renaissance pour résoudre les équations polynomiales, se soient révélés indispensables à la compréhension de l’électricité, puis à la physique des particules ? Plus difficile encore : comment expliquer que Paul Dirac, par exemple, ait pu déduire a priori l’existence d’une nouvelle sorte de particules (les anti-particules), par pure exigence de symétrie et de beauté mathématique ? Une chose est claire : la correspondance entre les mathématiques et le monde physique ne peut pas venir de l’expérience, puisque les théories mathématiques sont élaborées indépendamment d’elle. Et, dans l’autre sens, on ne voit pas comment le monde platonicien des mathématiques – purement abstrait et immatériel - pourrait de lui-même agir sur le monde physique… Quant à invoquer une « heureuse coïncidence », cela paraît peu satisfaisant. En désespoir de cause, Eugen Wigner allait jusqu’à parler de « miracle ». On pourrait tenter une solution radicale, en affirmant qu’il n’existe en réalité qu’un seul monde, le monde mathématique, dont le monde physique ne serait qu’une petite province. Dès lors, plus de problème de correspondance ! Mais cette « solution » n’explique pas comment le monde mathématique – réservoir infini de mondes possibles - aurait le pouvoir de se concrétiser, de se cristalliser en un monde fini particulier. Il manque une médiation. Il ne reste, rationnellement, qu’une solution, et elle tombe sous le sens ; elle tient en deux points. Premier point : le monde platonicien des mathématiques n’existe pas tout seul, il ne flotte pas dans le vide (des idées ne peuvent pas exister sans une pensée) ; il suppose un entendement nécessaire, éternel, infini dans lequel les structures mathématiques sont « logées ». C’était la grande idée de saint Augustin. Second point : si le monde physique, contingent, temporel, est tissé de mathématiques, c’est parce qu’il a été créé par cette intelligence infinie – que nous appelons Dieu - qui a choisi un monde réel parmi l’infinité des mondes mathématiquement possibles. « Aei o Theos geomêtrei », disait Platon, « Dieu toujours géométrise ».


Commentaire de Louis Favereau, le 5 septembre :

Aujourd’hui sur Cnews, Joseph Macé-Scaron, écrivain, sur la laïcité à l’école : « On ne s’en sortira pas tant que ne sera pas inscrit dans notre constitution le fait que nous sommes un pays judéo-chrétien ». La France, depuis le baptême de Clovis, est un pays chrétien, mais entendre cette propagande juive est insupportable.

À ce propos, lire « Pour en finir avec le « judéo-christianisme » sur lesquen.fr.


Remarque d’Henry de Lesquen, le 8 septembre :

Les armées romaines de Jules César ont exterminé un million de Gaulois pendant la guerre des Gaules de -58 à -51, soit 10% de la population de la Gaule. Populicide oublié. Les Français de sang ont tous des milliers d’ancêtres parmi les victimes de César, qui ne sont pas toutes mortes sans descendance.

La population de la France étant six fois plus nombreuse aujourd’hui, ce populicide d’un million de Gaulois est l’équivalent de six millions de victimes. Nous autres Français, nous aurions plus de raisons de commémorer cette choah que celle dont on nous rebat les oreilles.

Réponse de Patrick Brindel :

Ne devrions-nous pas aussi demander, comme certains, suivez mon regard, des dédommagements sonnants et trébuchants à l’Italie ?

Précisions d’Henry de Lesquen :

Les trois couches ancestrales de la population française

Le fonds génétique des Français de sang et des autres peuples occidentaux a trois couches.

Premièrement, les chasseurs ouest-européens arrivés en -30000 (30.000 ans avant Jésus-Christ), qui ont exterminé les néanderthaliens : environ 15% du fonds génétique en France.

Deuxièmement, les paysans anatoliens venus au début du néolithique, en -6000 : 45%.

Troisièmement, les Aryas (ou Indo-Européens) venus en -3000 des plaines du sud de la Russie actuelle (culture de Yamnaya) : 40%. Ces conquérants nous ont donné l’haplogroupe paternel R1b, majoritaire en France.

Les Gaulois ou Celtes étaient des Aryas, qui ont imposé leur langue et leur culture à la population indigène, issue des deux couches antérieures et peut-être aussi d’une première vague arya non gauloise. Ils ont plus tard adopté le latin, autre langue arya, qui était celle des vainqueurs, après le populicide perpétré par les armées romaines de Jules César entre -58 et -51 (un million de morts), parce qu’elle était très proche de la leur.

La seule question est de savoir si les premiers Aryas arrivés dans la France actuelle étaient des proto-Gaulois comme le pense Venceslas Kruta.


Citation de saint Augustin, De Genesi ad litteram, I, ch. 19, § 39, pour répondre à un catholique qui nie l’évolution des espèces :

Le ciel, la terre et les autres éléments, les révolutions, la grandeur et les distances des astres, les éclipses du soleil et de la lune, le mouvement périodique de l’année et des saisons ; les propriétés des animaux, des plantes et des minéraux, sont l’objet de connaissances précises, qu’on peut acquérir, sans être chrétien, par le raisonnement ou l’expérience. Or, rien ne serait plus honteux, plus déplorable et plus dangereux que la situation d’un chrétien, qui traitant de ces matières, devant les infidèles, comme s’il leur exposait les vérités chrétiennes, débiterait tant d’absurdités, qu’en le voyant avancer des erreurs grosses comme des montagnes, ils pourraient à peine s’empêcher de rire. Qu’un homme provoque le rire par ses bévues, c’est un petit inconvénient ; le mal est de faire croire aux infidèles que les écrivains sacrés en sont les auteurs, et de leur prêter, au préjudice des âmes dont le salut nous préoccupe, un air d’ignorance grossière et ridicule. Comment en effet, après avoir vu un chrétien se tromper sur des vérités qui leur sont familières, et attribuer à nos saints Livres ses fausses opinions, comment, dis-je, pourraient-ils embrasser, sur l’autorité de ces mêmes livres, les dogmes de la résurrection des corps, de la vie éternelle, du royaume des cieux, quand ils s’imaginent y découvrir des erreurs sur des vérités démontrées par le raisonnement et l’expérience ? On ne saurait dire l’embarras et le chagrin où ces téméraires ergoteurs jettent les chrétiens éclairés. Sont-ils accusés et presque convaincus de soutenir une opinion fausse, absurde, par des adversaires qui ne reconnaissent pas l’autorité de l’Écriture ? on les voit chercher à s’appuyer sur l’Écriture même, pour défendre leur assertion aussi présomptueuse que fausse, citer les passages les plus propres, selon eux, à prouver en leur faveur, et se perdre en de vains discours, sans savoir ni ce qu’ils avancent ni les arguments dont ils se servent pour l’établir.


Question de « tea », le 9 septembre :

Sur les origines de l’homme, je ne comprends pas comment, d’après la thèse multi-origines, l’homme est devenu une espèce de façon indépendante à partir de différentes régions, sans souffrir d’aucun problème d’hybridité majeur ?

Réponse d’Henry de Lesquen

C’est un phénomène d’évolution parallèle. Comme les loups marsupiaux apparus en Australie et homologues de nos loups placentaires. Le développement du cerveau et de l’intelligence s’est produit indépendamment dans les diverses régions de l’Ancien Monde sous l’effet de la sélection naturelle. Quant à l’hybridation, elle prouve surtout que la taxinomie actuelle est vaseuse, probablement pour des raisons idéologiques. A mon humble avis, homo sapiens et homo erectus sont une seule espèce.

Objection de « tea » :

Dans l’exemple des loups, l’évolution parallèle a rendu impossible leur hybridation/métissage…

Réponse d’Henry de Lesquen :

Pas exactement. C’est la division préalable des mammifères en deux catégories qui a rendu l’hybridation impossible. L’apparition indépendante des deux sortes de loup n’en est que plus fascinante. Elle prouve que la logique de l’évolution aboutit à des formes comparables sans que les unes soient pour autant héritées des autres.


Commentaire de « Chouchée noire », le 8 septembre, en réponse à l’article d’Henry de Lesquen sur l’interdiction de l’abaya :

Tout à fait, cher Henry. Les Français, après avoir fui leur Église, dégluti leur Starbucks Coffee, et brainstormé dans un open space, le tout fagoté de la tête aux pieds par des guenilles de la firme américaine Nike, ont trouvé opportun d’opposer à la pudeur excessive de ces habits islamiques une sorte d’allégorie fallacieuse de la femme française, laquelle serait dévergondée, habillée plus de peau que de tissu et aimerait à batifoler masculinement parmi les hommes.

La République est, au détriment de la tradition française, la promotrice de la raie publique. Car la femme française est d’une liberté certaine, mais d’une pudeur qui l’est tout autant. L’écueil de l’État homosexualiste macronien est donc à éviter pour les patriotes français qui seraient hostiles à la grande religion orientale qu’est l’islam.

Réponse d’Henry de Lesquen :

Je suis bien d’accord, sauf pour la république. Je répète que la définition négative de la république, à savoir tout régime qui n’est pas une monarchie, met dans le même sac la république romaine, la république de Venise, la IIIe république française, la république islamique d’Iran, l’URSS… Nous adoptons la définition de Jean Bodin : la république, d’après le latin res publica, est un régime voué au bien commun, qu’il soit monarchique, aristocratie ou démocratique.

Nous ne sommes plus en république depuis la loi Pleven du 1er juillet 1972, qui a établi l’État cosmopolite à la place.


Commentaire d’Albert Chopin à propos de la conférence de Pierre-Yves Rougeyron sur la crise ukrainienne, le 12 septembre :

Donc les Anglais, qui poussent à la guerre depuis le début et livrent des armes, l’ignoble Boris Johnson, qui a convaincu Zelensky de ne pas signer la paix négociée en Turquie en mars 2022, ce n’est pas bien grave, d’après Rougeyron.

Par contre, Orban, à la tête du seul pays de l’UE à ne pas livrer d’armes à l’Ukraine (et même à refuser qu’elles passent par son territoire), le seul dirigeant d’Europe à appeler à la désescalade, Rougeyron trouve quand même le moyen de lui cracher dessus : c’est pathétique.

Et, cerise sur le gâteau, Rougeyron parvient à expliquer que les services de renseignement allemands ont poussé à la guerre : oui c’est certain, c’était dans leur intérêt de se priver de gaz russe et saborder leur économie !

Je suis étonné que Rougeyron n’ait pas encore accusé les Allemands d’avoir fait sauter Nord Stream.

Puis :

M. Rougeyron a pour habitude de se choisir des cibles (Allemagne, pays de l’est, droite catholique, identitaires…) qui ne l’exposent à aucun risque de représailles, car ses cibles sont grosso modo les mêmes que celles désignées par l’oligarchie.

Autant pour être « anti-Boches » dans les années 40 il fallait un certain courage, autant l’être aujourd’hui de façon obsessionnelle dénote d’un mélange de bêtise et de lâcheté.

Le gouvernement allemand doit être critiqué et combattu quand il complote pour détruire le nucléaire français. Mais il est honteux d’accuser l’Allemagne dans le dossier ukrainien alors qu’elle est avant tout la victime des Anglo-Saxons, qui ont tout fait pour la priver de gaz russe et détruire son industrie. Je rappellerai que le territoire allemand est truffé de bases militaires américaines et que ses services de renseignements n’ont aucune marge de manœuvre.

Le pire est que M. Rougeyron se prétend gaulliste. Lorsqu’on sait ce que le général de Gaulle pensait des Anglo-Saxons, c’est risible.

M. Rougeyron attaque aussi régulièrement M. Orban en lui reprochant de s’intéresser au sort des minorités magyares présentes en Ukraine, lesquelles sont envoyées an front dans une guerre qui leur est étrangère.

Si je comprends bien M. Rougeyron, il appuie la décision de M. Poutine d’envoyer 500.000 militaires russes défendre les minorités russophones de l’est de l’Ukraine, mais M. Orban, lui, n’aurait pas le droit de simplement s’émouvoir du sort des minorités magyares à passeports ukrainiens.

Bon, la seule chose logique dans ce fatras idéologique qu’est la pensée de M. Rougeyron, c’est son admiration pour M. Boris Johnson, qui est son homme politique vivant préféré.

Certes, M. Johnson aura encouragé une guerre atroce au cœur de l’Europe, mais il aura viré du Royaume-Uni tous ses ressortissants roumains, polonais, hongrois que M. Rougeyron déteste tant.

Les chiffres de l’immigration au Royaume-Uni en 2022 : 1,2 million d’entrées, dont plus de 900.000 non-Européens !

Mais rassurez-vous, les Européens de l’est ont été mis dehors. Je me devais de rappeler ces chiffres car M. Rougeyron attaque régulièrement Mme Meloni sur sa politique migratoire, qui est certes calamiteuse, mais bizarrement il oublie de rappeler les chiffres apocalyptiques de ses amis anglais.


Réponse d’Henry de Lesquen, le 16 septembre, à quelqu’un qui rappelait que Jésus était juif :

Jésus était juif, mais il n’était pas pharisien, et le judaïsme actuel est celui des pharisiens dont parle l’Évangile dans les termes que l’on sait : « Engeance de vipères », « Fils du diable ». Et les Juifs ont tué le Christ : Déicide (I Thessaloniciens II 14-16).

Réponse de « iy8aaa » :

Bonsoir, théologiquement ce sont vos péchés qui ont tué (dans un premier temps) Jésus.

Je ne trouve pas ça intelligent que certains chrétiens tapent sur les Juifs pour cela.

C’est excusable si vous connaissez mal les Évangiles.

Réponse d’Henry de Lesquen :

C’est vous qui n’avez rien compris, par judéo-servilité. En reprenant les catégories d’Aristote, on doit dire que la cause matérielle de la mort du Christ, c’est la Croix ; que la cause finale, c’est la Rédemption (c’est en ce sens que ce sont effectivement nos péchés qui ont tué le Christ) ; que la cause efficiente, ce sont les soldats romains qui ont crucifié Jésus selon les ordres de Ponce Pilate ; enfin, que la cause formelle de la mort du Christ, ce sont les Juifs, qui ont demandé et obtenu sa mise à mort. C’est donc un sophisme odieux de soutenir que la cause finale ait pu effacer la cause formelle et la responsabilité des Juifs.

Celle-ci est au demeurant affirmée tout au long du Nouveau Testament et particulièrement dans le récit de la Passion selon saint Jean et dans la première épître de saint Paul aux Thessaloniciens, où on lit :

« Les Juifs ont tué le Seigneur Jésus et les prophètes. Ils ne plaisent point à Dieu. Ils sont les ennemis du genre humain… et la Colère de Dieu sera sur eux jusqu’à la fin des temps » (II 14-16).

Il faut donc être d’une sacrée mauvaise foi, dans les deux sens du terme, pour reprocher aux chrétiens de « taper sur les Juifs », quand ceux-ci ont mieux fait que « taper » sur Jésus : ils l’ont tué.

Et c’est bien une responsabilité collective qui est affirmée par saint Matthieu et saint Jean dans leurs Évangiles, par saint Pierre et saint Étienne dans les Actes des apôtres, saint Paul dans la première épître aux Thessaloniciens…

Dans l’Évangile selon saint Jean, les Juifs disent : « Il doit mourir selon notre loi. » En effet, la loi de Moïse condamne à mort le blasphémateur et les Juifs accusaient Jésus de blasphémer en affirmant être le Messie. Ainsi, tout Juif religieux, maintenant comme autrefois, juge légitime et nécessaire la condamnation à mort de Jésus. Il est donc moralement coresponsable du Déicide.


Commentaire de Jon DoeGaulle sur l’article de Pierre de Tiremont « L’antiracisme contre la science », le 19 septembre :

La technique dialectique du cosmopolitisme est l’affirmation de l’inexistence d’un concept par l’existence de ses limites. Ainsi, le concept d’homme n’existe pas car il existe quelques androgynes. On pourrait aussi remettre en question le concept de « bleu », car il n’y a pas de consensus sur les longueurs d’ondes auxquelles il fait référence. Tout concept nécessite une approximation, et sans celle-ci, aucune pensée élevée ne pourrait naître. Le seul cadre dans lequel le cosmopolitisme fonctionne est celui dans lequel tous les concepts sont faux, ce qui en dit long sur lui.

Réponse d'Henry de Lesquen :

Juste et profond, si ce n'est que, à mon avis, on ne peut pas dire que tout concept est une approximation. Mais il est vrai que l'argument de la continuité sert à nier la différence entre les races, dans la mesure où l'on trouve des intermédiaires dues à d'anciens métissages. On pourrait aussi bien nier les couleurs de l'arc-en-ciel.


Message d’Henry de Lesquen sur la superstition climatique, le 23 septembre :

Ne soyons pas dupes de la pseudo-science. Les lyssenkistes sont aux commandes. On peut quand même lire les ouvrages de trois membres de l’académie des sciences : Claude Allègre, Vincent Courtillot, Paul Deheuvels. Et aussi ceux de François Gervais, Benoît Rittaud, Christian Gerondeau, Olivier Postel-Vinay.

Et le rapport du « prix Lyssenko » 2010 attribué à Jean Jouzel.


Question de Paul, le 23 septembre :

Comme vous le savez sûrement, la finance est touchée par les lyssenkistes et les « néo-libéraux », notamment avec l’apparition des notations ESG. Au delà des objectifs de ces scores que nous ne partageons pas, que pensez vous de la méthode en elle-même ? Pourrait-elle être bénéfique en orientant ces notations vers l’intérêt national ? Ou craignez-vous qu’elles nuisent à la liberté des marchés ?

Réponse d’Henry de Lesquen :

Ces notations sont aberrantes. La mission sociale d’une entreprise est de gagner de l’argent pour ses actionnaires, dans le respect de la loi bien entendu. C’est à l’État d’assumer les missions qui relèvent de l’intérêt général.


Message d’Henry de Lesquen, le 25 septembre :

Les passeurs ne sont pas le sujet. Ils ne sont que les complices des envahisseurs.

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